Ubyr K. De Volturi Messages : 68 Date d'inscription : 06/10/2014 Emploi/loisirs : Etudiant en Médecine Feuille de personnage: | Sujet: Le Retour de Ubyr. [Terminé] Sam 15 Nov - 20:50 | |
| Présentation de Ubyr Kelidwen DE VOLTURI "Je suis un dieu parmi les insectes, celui qui dira le contraire est un fou!"
Nom : De Volturi Prénom : Ubyr K. Surnom : Mon nom se suffit à lui même. Date de naissance : 21 Juin Lieu de naissance : Vancouver (Canada) Age : 19 ans. Mais j'en parait 16. Statut : Plus ou moins célibataire Métier/Classe : Etudiant en Médecine / Sanguinaire Nationalité : Américain Autre chose ? : Vous ne saurez rien d'autre que ce que je vous jugerais digne de savoir !
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Si la beauté est subjective je suis la subjection. Il m'est très dificille de me décrire ... Je ne vieillis pas. Ou du moins je vieillis très lentement. Tel que vous me voyez, j'ai l'air d'a voir tout juste 15 ans, 16 tout au plus. Et bien, j'en ai en fait 19.
Je suis ... Je suis sommes toute un garçon tout ce qu'il y a de plus normal. Tout au plus séduisant. J'ai des cheveux châtains coupés mi courts, des cheveux qui sentent bon le délicat parfum de vanille, mon arôme favoris. Le tout encadrant un visage d'adolescent au teint d'albâtre. J'ai la chance d'avoir une peau parfaitement lisse, que ma vie quasi nocturne de ses dernières années a teintée d'une délicate pâleur, faisant ressortir mes lèvres rosées.
Parlons en de mes lèvres tiens ! Ma bouche est plutôt grande, surtout quand je me mets a sourire. Cela m'arrive très rarement je suis plutôt taciturne et presque tout le temps sérieux. De temps en temps, un petit sourire en coin qui se veux avenant, dévoilant la blancheur de mes dents.
Le seul trait caractéristique chez moi : La teinte sanguine de mes yeux. Mes yeux ... Ils n'ont pas toujours été rouges. Je suis né avec les yeux noirs. Il se sont éclaircit au fur et a mesure que j'ai grandis, passant par différentes teintes de marrons, de bruns avant de se teinter de rouge. Leur couleur sanguine accentue la pâleur de mon visage, me donnant parfois l'air d'un vampire. Je ne supporte d'ailleurs pas le soleil ou la lumière trop vive.
Mon corps est relativement fin et dessiné. Les muscles a peine esquissés sous la peau. Je suis plutot grand, 1m86, et très fin. Je ne suis pas sportif du tout, je laisse ça aux vantards, prétentieux et sans cervelle. Je préfère l'odeur délicatement ambrée des vieux livre de la bibliothèque. J'aile maintien bien droit et la démarche assurée. Je veux qu'on sache que je suis sur de moi et de mon jugement, et que cela se voit dans ma façon d'être. Loin d'être athlétique, je pratique une hygiène de vie exemplaire.
Toujours vêtu élégamment, je ne pourrais tolérer d'être un souillon. J'affectionne tout particulièrement les costumes deux pièces et, plus rarement, une simple chemise a manche longue, toujours pour éviter le contact du soleil sur ma peau. Appelez ça un toc si vous le souhaitez, mais je ne porte jamais deux fois de suite les même vêtements, et lorsque ceux ci sont trop sales a mon gouts, je préfère les jeter que d'essayer de les laver.
Mon apparence doit refléter la supériorité dont je me targue continuellement. Jamais vous ne me verrez mal vêtu ou pas présentable.
L'innocent n'est qu'un psychopathe qui s'ignore. Ma personnalité est a la fois complexe et totalement déviante. Je suis doté d'un remarquable esprit analytique, ainsi que d'une intelligence et une mémoire hors du commun qui me permettent d'étudier et d'assimiler quantité d'informations en peu de temps. Je ne pense pas être a proprement parler un génie, cela voudrait dire que je m'abaisse au même niveau que vous. Nan, je suis juste ... moi. Une intelligence supérieure.
Je suis quelqu'un de très sérieux. Je ne tolère pas la moquerie. Ni même l'hypocrisie. Quant au sarcasme ... je suis bien trop évolué pour le comprendre ou même le relever. Je suis peut être un brin prétentieux. Du moins, je sais que j'ai tendance a toiser de toute ma morgue ceux que je juge inférieurs. Néanmoins, je suis relativement loyal, envers ceux que je juge digne de moi, digne d'être considérés presque comme mes égaux.
Ce que d'aucun appelleront mes instincts meurtriers ne sont en fait qu'un gout très prononcé pour la recherche ! J'ai le désir profond de tout connaitre. Et quoi de plus passionnant que d'étudier les effet de toutes sortes de blessures sur le corps humain ? Est-ce vraiment être psychopathe que de vouloir chronométrer le temps qu'un homme mets a mourir suite a une blessure ?
Je ne tolère pas la saleté ou toute autre forme de contamination sur mon auguste personne. D'un caractère relativement avenant, je ne me lie cependant pas facilement. Je tiens a n'être entouré que de personnes réellement interressantes. Mes débordements de violence sont rares, je suis plutôt quelqu'un de tempéré, qui ne se laisse envahir par la passion que pendant ses expériences.
Mais néanmoins, prenez garde : Tout comme l'eau qui dort ne préviens pas quand elle deviens raz-de-marée, sachez que je ne préviens pas lorsque j'attaque (c'est plus drôle comme ça). <3
N'oublies pas : Sans la Mort, la Vie n'existe pas
I. Le Jour ou je suis né. (première manifestation de mon don). Je suis né a Vancouver au Canada. Pourtant, je suis citoyen américain. Mon père avait convaincu ma mère, alors enceinte de 7 mois de partir en vacance dans les grands espaces, afin qu'elle profite du grand air avant de me mettre au monde. Malheureusement, maman est tombée malade, et je du être sorti par césarienne. L'opération s'est bien passée pour moi. Cependant, elle faillit être fatale a ma mère. Ayant perdu trop de sang, elle agonisait sur la table d'opération, devant les chirurgiens impuissants à la sauver. Dans les bras de l'infirmière qui me tenait, je gesticulais en hurlant, cherchant la douce chaleur du sein maternel. Le cordon coupé, les médecins voulurent que ma mère puisse tenir son fils avant de s'en aller et me posèrent contre elle. Mes cris se turent et ma mère me serra contre elle. Le chirurgien qui refermait la plaie béante du ventre de ma génitrice fut stupéfait de voir les chaires saigner de plus belle alors que ma mère venait de se vider presque entièrement de son sang. Très vite, se fut le chaos, ma mère ne mourrait plus, il fallait a tout pris la refermer et la stabiliser. Plus tard, une fois totalement remise, les médecins l'ont appelée la Miraculée de la Maternité.
Ma mère m'a souvent raconté cette histoire. L'histoire de ma naissance. Et jusqu'a mes 15 ans, je n'avais jamais vraiment compris ce qui s'était passé ce jour la.
Mais ne brûlons pas les étapes ! J’eus plusieurs expériences avec mon don au cours de mon enfances, mais aucunes d'elles ne me sembla vraiment inhabituelle. Comment aurais je pu savoir que c'est moi qui avait brisé la jambe du voisin ? Comment aurais-je pu imaginé un seul instant être la cause de la rémission du cancer de mamie ? Ou bien de la mort de Izziss, notre petit chat ?
Tout cela, je le compris ce jour la ...
II. Un Don qui fait le bien ... J'était comme a l'habitude plongé dans les études. J'avais toujours été brillant. J'avais passé mon BAC a 15 ans et obtenu avec mention très bien. L'anatomie et les problème du corps humains m'ayant toujours passionnés, je me suis naturellement tourné vers la médecine. Mes parents avaient du payer cher pour que je sois accepté a la fac de médecine a seulement 15 ans et je souhaitais plus que tout que ce pot-de-vin ne soit pas vain en étudiant comme un forcené.
Ma famille, admirative se portait volontaire pour que j'examine leurs petit bobo et tente de poser un diagnostique. Ce jour la, mon père venait de tomber du cerisier. Sa cheville avait doublée de volume. En l'aidant a se relever pour l'asseoir dans le canapé et lui donner les premier soin, ma main entra en contact avec sa peau, et j'eu un flash. Je voyais son muscle, déchiré par la torsion de sa cheville, le sang s'écouler en hématome sous cutané. De surprise, je lâchais mon père qui s'effondra sous la douleur de son entorse. Paniqué, j'appliquais instinctivement mes mains sur sa blessure, et imagina le muscle se refermer et l'hémorragie de résorber. En quelque seconde, mon père se senti mieux, sa cheville avait repris une taille et une couleur normale. C'est a se moment la que je compris que j'avais un don. Mes mains, mon esprit, pouvais prendre conscience du corps des autres et soigner les blessures. Ce jour la, je me rendis compte qu'au premières heures de ma vie, j'avais sauvé celle de ma mère.
Aaaah ... Mais si mon don n'avait été que celui ci ... Comme j'aurais pu être heureux. Je ne serais surement pas devenu ce que je suis ...
III. ... Et le mal ! Je venais d'avoir 17 ans. J'avais des résultats excellents et avant même d'être majeur, je surpassais certains de mes professeurs de médecine. Mon don me permettait de sentir immédiatement qui souffrait de quoi, par simple contact et de le soigner. J'avais appris a le maîtriser.
Cela attisait la jalousie de mes camarades de classes qui ne comprenait pas comment je faisait, ni pourquoi mes résultats étaient excellents. Un soir, alors que comme de coutumes je lisais les encyclopédie médicales de la bibliothèque, un jeune homme, nommé Harry, m’assénât un violent coup. De surprise, et sous le coup de la douleur, je m'effondrait au sol, entraînant avec moi ma chaise et toute une pile de livre qui s'écroulèrent. Tentant de me relever, je vis Harry s'approcher, brandissant de nouveau le poing dans ma direction. Instinctivement, je poussait de toutes mes forces l'étagère qui se trouvait a coté, la faisant basculer sur mon agresseur. Celui ci se mit a hurler. L'armature métallique venait de lui déchirer la peau sur toute la longueur du bras, de l'épaule jusqu'au coude.
Effaré par ce que je venais de faire, je m'approchais de lui, en lui intimant de se calmer. Harry, serrant les dents sous la douleurs, se laissa faire. Je posait mes mains sur son bras. Je vis la peau ouverte, les vaisseaux déchirés, le muscle touché et senti même un minuscule trou dans une artère principale. Son entaille était profonde. Je commençais a me concentrer pour le soigner, quand tout ma peur s'évanouit. Je pouvais tout aussi bien le laisser la. Après tout, c'est lui qui m'avais attaqué ! Je pouvais le laisser souffrir. Plus j'y réfléchissait, et plus j'imaginais sa souffrance. Je voulais le voir payer.
Soudain, Harry se mit a hurler. Je lâchais brusquement son bras et se que je vis me glaça le sang. L'entaille s'était élargie, mettant l'os a nu, lui même avait commencé a se fracturer. Les vaisseaux, les nerfs, le muscles, tout était totalement déchiqueté. Tout ce que j'avais imaginé s'était gravé dans sa chaire, dans son corps. J'avais aggravé sa blessure, au point qu'il perdrait son bras. Je mis du temps a reprendre mes esprit, tandis que Harry s'était évanoui dans une mare de sang.
La culpabilité me rongeais. Je pris alors le temps de le soigner avant de m'enfuir. Les études étaient terminées. J'avais un don. Pas le don de guérison comme je le pensais. J'avais le don de contrôler les cellules du corps humain. Je pouvais prendre conscience du corps de quelqu'un, sentir ses blessures et, a ma guise, les soigner ou les aggraver.
IV. Quand la curiosité est une folie Les années passèrent et je m’entraînais a maîtriser mon don, a le développer. La guérison sur les humain, la blessure sur les animaux. J'avais pris pour habitude de ne sortir qu'a la nuit tombée, voulant a tout prix éviter de me faire remarquer. Alors que je traînais dans les rues a la recherches d'animaux errants sur lesquels développer mon don, un homme se rua sur moi.
Je ne pus l'éviter et roula à terre. L'homme était apparemment saoul et n'appréciait pas la qualité de mes vêtements. Je tentais de me relever et m'aperçus que j'avais chuté dans une flaque boueuse. Mes vêtements et mon visage maculés de boue et de saleté me firent entrer dans une colère noire.
Alors que l'homme se jetait a nouveau sur moi, je réussis a plaquer ma main sur son bras. Instantanément, je vis que malgré sa taille et ses habitudes déviantes, il n'avait aucunes failles dont je puisse profiter dans un laps de temps aussi court. (En effet, l'entrainement m'avait permis de remarquer que plus la blessure que j'aggrave est minime, plus le temps dont j'ai besoin pour l'aggraver est long).
La panique commençait a me gagner, et, ma colère ne se calmant pas, je me mit a imaginer toutes sortes de blessure pouvant immobiliser mon agresseur. Se dernier tenta de se jeter a nouveau sur moi, vociférant un flot d'insulte. Prenant mon courage a deux main, je m'agrippait à son poignet et au prix d'un immense effort parvint a lui briser deux côtes par la force de mon don.
L'homme hurla et tomba a terre. Un léger sourire retroussa mes lèvres, et j'appliquais ma main sur son front. Je sentis enfin sa faiblesse. Son cœur. Un battement sur deux, la valve mitrale ne fonctionnait qu'a moitié. Une malformation congénitale surement. Je regardais l'homme plié sous la douleur, et lentement, déforma encore plus sa petite valve. L'homme se raidit, suffoqua et tomba mort sous le coup de l'infarctus que je venais de lui infligé.
Je m'écartais et prit le chemin du retour, impatient de jeter ses vêtement maculés et de retrouvé la délicate ivresse de la propreté. Cependant, mon esprit, lui était échauffé : Ainsi donc, je pouvais aussi créer la blessure, pas seulement l'aggraver. Mais cela me demandait une énergie considérable.
Je passais les mois suivants a expérimenter toutes sortes de blessures sur tout un tas de cobaye, avide de connaitre les effets que cela impliquait. Mon don de conscience avait atteint son paroxysme et d'un simple contact je décelais la plus infime anomalie. Je pouvais soigner très facilement et aggraver une blessure tout aussi facilement. Mon seul problème était désormais pour créer une blessure chez quelqu'un. Cela me demandait une concentration extrême et un gros potentiel magique. Je l'utilisais donc très rarement.
J'eus tout le loisir de découvrir les différents effets de mon don sur moi même et sur les autres. Je pris alors conscience de ce que j'étais : un dieu parmi les insecte ! Bien fou celui qui dirait le contraire. Non seulement j'ai le droit de vie ou de mort sur les gens que je touche, mais en plus, je vieillis beaucoup plus lentement que les êtres humains.
V. Miraculeuse rencontre. La période qui suivie fut riche en expérience. Je pus a loisirs entraîner les différentes possibilités de mon don.
Un soir que je cherchais de nouveaux cobayes humains, je fut témoins d'une scène incroyable. Je voyais sous mes yeux une jeune femme rendre fou un homme par simple contact de ses mains. Elle semblait auréolée d'une lumière dorée. Je la regardais faire, sans penser a me cacher. L'homme qu'elle avait touché s’écroulât en proie a des vision probablement cauchemardesques. J'attendis de longue minutes face a celle qui venait de réaliser ce miracle. Puis me décidât a l'approcher. Il ne me fallut pas longtemps pour l'apprivoiser.
J'appris la teneur de son pouvoir et tout de suite en vit les avantages. Une association s'imposaient. Celeste me fournirais des cobayes humains, qu'elle aurait rendu fou par son pouvoir, et je pourrais mener mes expériences en toute quiétude. Nous passâmes plusieurs moi dans cette atmosphère. Elle semblait fascinée par les tortures que j'infligeais a nos victimes. Et moi ... Moi je ne voyais plus en elle qu'une Déesse. Mon égale.
En sa compagnie, je laissais libre court a mes penchants morbides. Voici une petite liste de mes exploits les plus ... disons impressionnant ! - Transformation d'une petite tumeur maline en cancer généralisé dernier stade. - Création d'une fasciite nécrosante chez un sujet totalement sain. - Fracture simultanée de tous les os d'un enfant de 12 ans. - Éclatement des organes internes chez un sujet adulte. - Provocation d'un accouchement a 5 mois de grossesse.
Sans compter les aggravation de tout type, les maladies infectieuses et toute la panoplie du blessé grave. Chaque expérience étant assorties de sont lot de constatation. Mon but ultime étant de comprendre les limites de la résistance a la douleur de l'être humain.
Ma prédilection reste pour les fractures que je peux générer en quelques seconde désormais.
Quel sentiment étrange de ne plus penser qu'a soit même ... Moi qui avait passer les dernières années qu'a penser a me seule personne, j'avais maintenant une autre raison d'avancer. Je pensais que tout allait durer, que Celeste et moi serions heureux. Qu'un jour, peut être, j'oserais lui avouer qu'elle hante mes jours et mes nuits ... Que c'est son visage que je vois quand mes yeux se ferment ... Que c'est son prénom que je murmure quand la solitude m’oppresse ... Que je la considère non plus comme ma complice, mais comme mon égale !
Si j'avais su ce qui arriverait ce soir la ...
VI. Décadence et arrivée a Shikido J'était comme a mon habitude occupé a réalisé une de mes innombrables expériences. Je venais d'entailler sur toute la longueur une femme encore vivante, dévoilant ses organes tremblotant et m’apprêtais a faire éclater son foie lorsqu'un vacarme assourdissant retentis a l'entrée de l’entrepôt qui me servait de laboratoire.
Je me dirigeais vers la source de bruit et aperçut Celeste, suivie de plusieurs hommes. A cet instant, tout s’écroulât ... La femme avec qui j'avais partagé mes plus noirs secrets ... Celle qui m'avait ouvert a d'autre perspectives ... La femme pour qui j'avais sacrifié mon statut de dieu vivant ... Elle me trahissait ... Mon âme sombra un instant dans une folie meurtrière, engendrée par la rage noire que je ressentais.
J’attrapai le premier objet pouvant faire office d'arme que je trouvais. Il s'agissait d'un poignard, muni d'une lame très tranchante, et dont le manche était serti d'une magnifique émeraude. Une émeraude aux reflets identiques aux yeux de mon aimée. J'avais l'intention de le lui offrir ce soir, en lui déclarant ma flamme. Je me ruait sur l'enchevêtrement de personne qui se battait devant moi. Plantant mon poignard dans les gorges découvertes, dans les ventres tendres, partout ou la lame pouvait s'enfoncer.
Ma rage se calma soudainement lorsque je vis Celeste étendue par terre au milieu des cadavres. Une plaie sanguinolente courant sur ses reins. Je compris soudain que je venais de la frapper avec mon poignard. Affolé, je m'agenouillai devant elle et concentra mon pouvoir sur sa plaie, la refermant doucement, soignant les viscère que j'avais tranchées. Je pris soin de laisser une fine cicatrice, afin de me rappeler de ne plus jamais lever la main sur elle ...
Puis, épuisé, je perdis connaissance. La bataille m'avais demandé tellement d'énergie ... Au travers du brouillard de mon inconscience, je sentis fugacement Celeste me tenir contre elle, ses mains sur mon front. Puis une lueurs dorée, aveuglante et le noir total.
Lorsque je repris connaissance, j'étais seul, au milieu d'un tas de cadavre, un poignard a la main. Je me souvenais parfaitement de la scène de la veille, des corps que j'avais tranchés. Mais ... cela semblait irréel. A chaque fois que j'essayait de me rappeler de ses dernières semaines, une abominable créatures aux yeux d'émeraude apparaissait dans mon esprit. Je ne comprenais pas ce qui arrivait. Ni cette étrange sensation qui m’étreignait le cœur. Je me sentais amoureux ... Mais de qui ? De quoi ? Pourquoi ?
Déboussolé, désarçonné, je ne savais qu'une seule chose, les eux d'émeraude étaient la clé de ce mystère. Je me remis a tuer. Chaque femme aux yeux verts que je croisais. Je torturas atrocement chacune d'entre elle, dans l'espoir qu'elle m'avoue ce qui m'arrivait. Mais jamais aucune ne m’apportât de réponse ...
Emporté par mon désir de comprendre, je fit quelques erreurs, je laissait des traces, des cadavres. La police pensa a un tueur en série. Toutes mes victimes avaient les yeux verts. Je fut bien vite rattrapé. Arrêté, menotté, enfermé. J'avais atrocement mutilé une dizaine de représentant de l'ordre avant d'être maîtrisé. J'aurais du subir la peine de mort, mais mes parents m'aimaient, ma mère surtout. Et ils payèrent grassement l'état pour que ma sentence soit toute autre. Ils savaient qu'un établissement pour les gens comme moi existaient et réussirent a m'y faire admettre.
Au lieu de la mort, je subirait l'exil de la société. j’intégrerais la prison de l'île de Kokokuri, le pensionnat Shikido. Entouré de mes semblables (que je hais ce mot, vous n'êtes pas mes semblables >.<) et apprenant a gérer mes pulsions et mon pouvoir. De plus un nouveau but m'animait. Cette institution regorgeait de criminels en puissance, aux pouvoirs énormes et dévastateurs. Je sacrifierais mon temps a tenter de prendre le contrôle de cet école, de destituer l'infame harpie qui sers de directrice et créer mon armée de gens hors du commun pour me venger des humains normaux ...
Pouvoir : Contrôle Anatomique
- Informations :
Description : Petite description du Don. J'ai la capacité de prendre totalement conscience du corps d'un être vivant que je touche. C'est à dire que part simple contact je peux sentir s'il est blessé quelque part, s'il souffre d'une maladie ou de toute autre chose anormale (a condition que se soit un symptôme physique, je n'ai aucun pouvoir sur les maladies mentales).
Je peux ensuite soit le soigner, soit aggraver ses blessures. Je peux aussi avoir conscience de mon propre corps pour me soigner, mais cela m'est difficile car je dois utiliser deux fois plus d'énergie. Je peux également utiliser mon pouvoir sur mes propres cellules pour booster mes capacités (force, agilité, vitesse) pendant quelque minutes.
Sur moi, mon don a deux effets sur lesquels je n'ai aucun contrôle : le vieillissement de mes cellules est ralentis (je ne suis pas immortel mais je vieillis moins vite que les autres), et celles de mon cerveau son hyperactives (ce qui me donne une grande intelligence et une excellente mémoire).
Au summum de ma puissance je peux même créer une blessure ou une maladie chez un être sain. Mon don peut agir sur les cadavres mais je ne peut pas ressuciter un mort.
+ Avantages : • Je peux faire souffrir ou soulager a ma guise. • Dans les cas extrêmes je peux me soigner moi même. • J'ai une espérance de vie beaucoup plus longue (~150 ans) - Inconvénients : • J'ai besoin de toucher la personne pour agir. • Je ne peux utiliser mon don sur moi même que très peu de temps. • Je n'ai aucun impact sur les maladies mentales.
Qui se cache derrière tout ça ? Pseudo : Kumi', Kumichou, Julien ou Ju'. Age : La vingtaine! Comment avez vous découvert le forum ? Grâce à Elyana Votre présence sur le forum ? Autant que possible! ^^' Code du règlement ? Validé par Caro'
Dernière édition par Ubyr K. De Volturi le Dim 16 Nov - 19:26, édité 1 fois
| | | Luna Edwards Messages : 31 Date d'inscription : 08/07/2014 Localisation : Je ne sais plus... Humeur : Taquine Feuille de personnage: | Sujet: Re: Le Retour de Ubyr. [Terminé] Sam 15 Nov - 21:29 | |
| *Te lance des polochons* U__U *ne dit pas rebienvenue même si elle le pense :c * |
| | | Akumu Yume Messages : 233 Date d'inscription : 12/09/2013 Localisation : Dans mon bureau ou en arêne Humeur : Euh... Fracassante ? Age : 38 Emploi/loisirs : Travailler, frapper, manger... Feuille de personnage: | Sujet: Re: Le Retour de Ubyr. [Terminé] Sam 15 Nov - 22:55 | |
| Bon retour à la maison Ubyr. :3 |
| | | Nicos San Messages : 154 Date d'inscription : 08/11/2014 Localisation : Dans mes pensée. Humeur : Triste, problème ? Age : 28 Emploi/loisirs : jeux video / lire / ordinateur Feuille de personnage: | Sujet: Re: Le Retour de Ubyr. [Terminé] Sam 15 Nov - 23:17 | |
| bon retour |
| | | Nicos San Messages : 154 Date d'inscription : 08/11/2014 Localisation : Dans mes pensée. Humeur : Triste, problème ? Age : 28 Emploi/loisirs : jeux video / lire / ordinateur Feuille de personnage: | Sujet: Re: Le Retour de Ubyr. [Terminé] Sam 15 Nov - 23:18 | |
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| | | Nishimura Kobayashi Messages : 165 Date d'inscription : 24/05/2014 Localisation : Dans mon café ! Humeur : Nyaah, aucune idée. Age : 26 Emploi/loisirs : Lire Feuille de personnage: | Sujet: Re: Le Retour de Ubyr. [Terminé] Dim 16 Nov - 0:56 | |
| Bon retour, au plaisir de RP avec toi. |
| | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: Le Retour de Ubyr. [Terminé] | |
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| | | | Le Retour de Ubyr. [Terminé] | |
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