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 Journal de Larksi (en cours V2)

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Larksi Kavid
Larksi Kavid
Messages : 40
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MessageSujet: Journal de Larksi (en cours V2) Journal de Larksi (en cours V2) Icon_minitimeLun 22 Fév - 19:51

Je m’appelle Larksi Kavid, pourquoi je décide d’écrire ma vie sur un journal qui sera surement découvert par quelqu’un qui n’en aura rien à faire ? Je ne sais ne le sais pas moi-même.
Surement pour garder une trace de ma vie, comme un moyen de conservation ?
Je suis née en France dans une famille aimante, du moins c’est que je croyais, a mes 6 ans, mes parents disparurent du jour au lendemain, abandons ? Meurtre ?
Il est vrai que ma ville de naissance est plutôt mal famé j’ai grandis dans la ville, une ville évidemment très mal famée, j’ai appris à me défendre seul face aux adultes et j’ai du me battre chaque jours pour survivre ce fut vers mes 8 ans je crois que ma vie changea a jamais

Je me réveilla au petit matin, une mèche noir cachait mon visage fin aux yeux marron, il parait que à l’époque j’avais un regard très doux et plein d’innocence, surement dut à mon jeune âge, j’étais plutôt petit et avait les cheveux noir comme la nuit, ma coiffure était toujours en bataille mais était ma coiffure normal, je ne pouvais rien y faire, on me disais souvent que j’avais de joli yeux noisette avec un regard perçant.

J’enfilais mon jogging gris et un sweat de même couleur, nous étions en plein hiver et je n’avais pas réussi à dormir à cause du froid. En effet un fin manteau de neige recouvrait la ville, Je quittais mon « château » et je décidais de courir pour me réchauffer, je me retrouvais sur la place du village, en face de l’église qui brillait de mille feux grâce aux premières lueurs de l’aube.
Cette église m’avait toujours intrigué, inspiré et attiré, pourquoi ? Je ne saurais le dire. Tant bien même je restais souvent immobile a la contempler elle était vraiment imposante, avec son style gothique et son toit noir, ces vitraux était juste très… sombre mais cela m’apaisait pour quelque obscure raison,
A cette époque je me demandais pourquoi était-elle fermée depuis tout ce temps d’après ce que j’avais entendu cette église était fermé depuis 1400 environ soit plus de 600 ans ce qui était vraiment beaucoup.

Un homme me bouscula et je repris mes esprits, je levais les yeux et remarqua le regard vitreux de l’homme. Je pensais immédiatement que c’était un vieux poivrot. L’homme s’éloigna en silence.

C’était jour de marché aujourd’hui si bien que je décidais de déambuler entre les allées, c’était une ville de taille moyenne si bien que le marché n’était pas bien grand, mais les gens ne l’aurais manqué pour rien au monde. En effet il y avait ce stand, cette chose qui obligeait les gens à venir comme une mouche aveuglé par le pot de confiture a la fraise. Pourquoi à la fraise ? Et bien personne ne le sais. Ce stand s’était celui de…… saucisses.

À chaque fois que je venais dans un certain coin du marché un homme avec son camion frigo avait toujours plein de client, mais c’était normal les saucisses qu’il vendait était un régal, le jus qui s’engouffre dans votre bouche a la première bouché, ce gout fumé incomparable était juste divin.

C’était mon stand préféré mais pour une autre raison, en effet puisque comme le vendeur était très occupé avec ses clients, il n’était pas dans l’arrière-boutique, ce qui me permettait très souvent d’emprunter de prendre 2-3 provisions. Oui c’était clairement du vol et alors, dans ce monde s’était manger ou être mangé, je l’avais compris bien assez tôt.

Il y avait une porte arrière sur ce camion, je m’y faufilais donc ni vu ni connu, j’avais l’habitude d’être silencieux et discret, j’attrapais mon futur repas, environ saucisses et je parti comme j’étais venu. Incognito, du moins c’est ce je croyais

je rentrais à ma base, mon château comme j’aimais l’appeler, c’était une vieille cabane aux extérieurs de la ville, avec quelques trous par-ci, par-là, rongé par la pourriture.
Mais j’avais réussi à redonner de la vie à cette vieille bicoque avec mes parents les aidants du mieux que je pouvais,…. mes parents qui m’avais abandonnée du jour au lendemain, sans lettre, mots qui même un au revoir.
Je m’étais retrouvé seul a 6 ans et cela faisais 2 années que luttait pour survivre. Je m’étais plutôt bien adapté a cette vie, du moins je le pensais, je déposais mes provisions sur un petit ballot de paille. A l’intérieur de mon château

j’y déposais quelques carottes compléments moches, donc invendables, jeté dans une benne, ce gâchis m’arrangeait beaucoup, il n’y avait que très peu de repas ou je n’avais rien mangé. J’allumais un feu dans la cheminée pour chauffer la maison.
Puis je parti m’entrainer dans le « jardin » comme je l’appelais, c’était juste l’extérieur de mon château, je commençais à exécuter des mouvements de relaxation et de souplesse, pour pouvoir voler facilement il fallait être souple et rapide, j’enchainais par des exercices de cardio, et je finissais par quelques mouvement que je qualifiais naïvement de self-défense, ce que j’appelais self défense était savoir donner un coup de poing efficacement, beaucoup de personne avançais juste le poing fermé cependant il fallait utiliser ses jambe et tous le poids de son corps. Je réalisais d’autres mouvement et exercice mais ce n’est pas très passionnant à raconter. Chaque jour je passais quelques heures à faire ça.

Je regardais ma montre « trouvé » dans une ruelle « 10 heures ? » c’était l’heure de faire du parcours. Ce que je préférais a l »époque et encore même maintenant en fait c’était de faire du parcours, j’avais vu des gens le faire et j’estimais que c’était plutôt pratique pour s’échapper et se rendre dans des endroits inaccessible, c’est donc pour cela que j’avais commencé à faire des exercices, du cardio et autres. Bon je m’étais aussi déjà fait racketter par des gros et les gros me fessaient peur.
J’étais un enfant à l’époque.
J’avais donc demandé a quelques autres ados des bidonvilles que l’on m’apprenne quelques mouvements et ces gens avaient été vraiment sympa, ils m’avaient montré quelques mouvement et quelques parcours pour les débutants, ils m’ont bien appris et ceci malgré mon jeune âge. Surement dû au fait que nous étions du bidonville. A mes débuts, j’avais un peu plus de 8 ans.
Je réalisais donc son parcours quotidien et rentra environ 1 heure après.

Je me rappelle que ce jour-là c’était le jour ou je me comparais à mes début, j’avais été beaucoup plus rapide cette fois, cela ne faisais que quelque mois que j’avais commencé le parcours et j’étais de plus en plus content de mes progrès. Et oui sans personne pour m’encourager il fallait bien que je me débrouille.
Je rentrais chez moi en trottinant et je passai donc la dernière heure de la matinée à me laver avec de la neige fondu réchauffé. Pour me laver j’utilisais du shampoing encore une fois volé, mais bon je n’avais pas le choix, je voulais être un minimum présentable. Je m’étendis dans ma baignoire de fortune. C’était un cadre réalisé avec 4 longues planches de bois avec un fond en pierre qui me permettait d’y mettre des braises en dessous. J’avais mis une grande bâche permettant de garder l’eau, recouvert d’une bâche, j’avais réussi à la rendre presque étanche, c’était le principale. Le seul problème c’est que ben souvent l’eau ne restait pas chaude très longtemps

Une fois ma toilette fini vers les environs de midi, je remarquais avec un certain agacement que le feu dans la cheminée était éteint, je jurais et alluma un feu tant bien que mal. Après 10 bonnes minutes à lutter contre le bois humide par la neige, une étincelle craqua et le feu commença à prendre. Je soupirais se soulagement, rester sans feu par ce temps c’était suicidaire. J’embrochais les saucisses et commençais à les faire lentement tourner au-dessus du feu. Je pris de la neige que je fis fondre dans ma  casserole improvisée, c’était un bout de métal que j’avais plié en récipient et auquel j’avais rajouté un bout de bois implanté de métal rendant le tous solide et non brulant. Quand j’y repense c’était vraiment de la merde enfin bon, après de longues minutes j’y ajoutais les carottes récupérée plus tôt et j’attendis que le tout commence à bouillir afin de me servir ma maigre pitance.  

J’allais commencer à manger lorsque l’on frappa à la porte. Je levais les yeux de mon assiette fumante et jura pour la deuxième fois en une matinée, cette journée avait pourtant si bien commencé.

Je me rendit donc vers l’entrée tous en me demandant qui cela pouvait-il être, Jarel ? Non impossible ce n’était pas son genre de venir chez Larksi même lorsque ce dernier avais une super affaire. Jarel était un autre enfant abandonnée comme moi, il était plus vieux que moi de 2 ans mais ose le dire avec une certaine fiérté, a l’époque il me respectait car grâce à mes entrainement j’étais plus fort que lui, oui l’époque des loubard était fini, mais c’est aussi parce que j’arrivais a lui obtenir de mon objets ce qui lui permettait d’en revendre, il avait de bon contacts et moi j’avais les capacités
Nous nous connaissions depuis l’époque ou je devins orphelin, sois environ 2 ans.

Je continuais a réfléchir et petit a petit barra les visages et nom au fur et a mesure que je me rapprochais de la porte

C'est en me demandant qui cela pouvait bien-t-il être que j’ouvris doucement la porte.
Un homme d’âge mur entre 30 et 40 ans environ, les cheveux brun coupé court, une courte barbe taillé encadrait un visage qui me semblait sévère, il était vêtue de haillons.
Ce dernier me demanda quelque chose pour le moins curieux : Tu pourrais me laisser entrer il fait plutôt froid et je n’ai pas eu le temps de préparer mon repas. Sur ces mots il sorti un énorme morceau de bœuf cru. J’hésitais bien évidement
L’homme voyant que je n’avais pas réagi retenta sa chance : « j’ai besoin de te parler Larksi j’ai une proposition a te faire »  puis il eut un air surpris et lâcha un petit « Oups »

Je fus encore plus méfiant  « Comment connaissez-vous mon nom ?
L’homme répondit par un sourire. «  tu pourras le savoir si tu me laisse t’en parler cependant je parle très mal sous le froid et le ventre vide
Je capitulais pour deux raison principale, la première c’est que j’avais encore faim et la seconde raison c’est que l’homme m’avais intrigué : je l’autorisa à entrer, l’homme hocha la tête et entra. Il embrocha la piece de bœuf et commença a tourner lentement la viande.

Impatient je le questionnais : Alors ?  
L’homme répondit calmement : Patience la viande mets du temps à cuire et puis tu ne vas pas me dire que ton pauvre repas va te suffire.

L’homme, une fois la viande cuite, m’expliqua la raison de sa venue, il était membre d’une « organisation » de voleur et souhaitait me former.
Je restais très dubitatif : pourquoi moi ? Vous n’allez pas me sortir les conneries de l’enfant de la prophétie non plus ?
Non, mais tu es tous de même doué. Notre c’est juste que nous recherchons….

Je lui coupais la parole car je sentais qu’il allait essayer de me convaincre mais je m’étais déjà décidé
Oui, oui, oui,  j’accepte de rejoindre votre sanctuaire / association/gang/ clan des voleurs, je prends mes affaires et on y va.
Je commençais a rassembler mes maigres affaires
Attend ! M’interpella t’il
Je répondis mi fatigué mi énervé : Quoi !? C’est simple non pas besoin de me convaincre.
Je sais mais nous ne sommes pas des simples voleurs.
J’attendais la suite en silence.
Nous sommes aussi des assassins. Lâcha l’homme
J’en fus un peu étonné je l’avoue, cependant cela ne me gênait pas vraiment, j’avais bien compris que dans ce monde seul la loi du plus l’emportais malheureusement. Je demandais simplement  Et donc ?
Tu vas devoir tuer  cela ne te pose pas de problème ? Continua l’homme d’un ton plat.
C’est vrais que je n’y avait jamais réfléchit à ça en fin de compte j’avais beau dire que seul la loi du plus fort régnais et tous les belles paroles. Je n’étais encore qu’un jeune garçon à l’époque. Je répondis alors de la façon la plus honnête possible. Je ne sais pas.

J’ai juste une question ?
Pose-la
Nous somme de quel côté ?
Je ne sais même plus pourquoi j’ai posé cette question des plus clichés, surement car je me pensais le héros d’une histoire incroyable et que je lutterais pour la veuve et l’orphelin ?
Cependant la réponse que mon futur maitre me donna fut originale
Il y a deux réponses à cette question, celle du poète et celle du savant : quel est celle que tu veux entendre ?

Celle du poète ? Je répondais à tous hasard curieux

Il n’y a pas de bien ou de mal en ce monde c’est donc à toi de choisir si ce que tu fais te semble juste ou non

Et celle du savant ?
Nous essayons d’être du bon côté et de tuer pour une bonne raison : souviens toi lorsque tu tiens une vie tu peux aussi choisir de ne pas tuer mais bien souvent nous n’avons pas le choix car nos ennemis sont déterminées.
Il conclut : quelle réponse te convient ?

Je pris le temps de réfléchir : Hum les deux réponses sont intéressante : après un petit temps de réflexion je pris mon choix décida : La réponse du poète

Pourquoi me demanda l’homme
Je répondit du tac au tac avec un grand sourire : Je préfère être libre de choisir
J’avais fini de rassembler mes affaires, je sorti donc de la maison et attendit que l’homme me dépasse, je me mis à sa hauteur et le bombarda de question, cependant je n’eut le droit qu’à une seule réponse : patience mon enfant patience.

Cette phrase était clichée ! ! Je compris alors que mon maitre serait très chiant, m’enfin je m’étais engagé dans cette voie là c’était trop tard, je marchais donc à côté de son employeur. L’homme me regarda et eu un petit sourire avant de dire : Tu poses les mauvaises questions réfléchies bien tu en à droit à un nombre limité, disons trois.

Hum… je réfléchis un petit moment et m’écria : Ah je ne connais même pas votre nom

Il y a deux réponses à cette question, celle du poète et celle du savant : quel est celle que tu veux entendre ?

Je rigolais, cette approche me plaisais beaucoup, quel est la réponse du savant  
Anthony
Je répliquais Hum c’est vraiment un nom pourri. Quel est la réponse du poète ?

Mon futur maitre répondit à cette nouvelle question : Je suis seulement moi peu importe mon nom, un nom n’est qu’un moyen de reconnaissance envers ses semblable je n’y attache pas d’importance.

Je n’eus même pas besoin de réfléchir cette fois.
La réponse du poète est beaucoup plus cool cette fois :
Je le regardai avec un sourire d’innocence, donc je peux vous appelez comme je veux du coup….
Même avec un nom humiliant ?
Une grimace fugace apparut sur son visage mais il resta imperturbable Si cela te plait

J’étais assez content d’avoir pu lui changer son expression, même si je me doutais que cela face parti du jeu, après tous le nom était la première chose que l’on demande a une personne, je jubilais quand même.
Je réfléchit donc un nom pour son maitre du moins j’étais presque sûr que Anthony serait mon maitre
« Edwin »
L’ancien Anthony haussa un sourcil et regarda en ma direction  

Edwin ? C’est... spécial.
J’étais tous sourire Pas vrai ?
Ça vient d’un livre que j’ai lu et le héros s’appelle comme cela. Ça vous plait ?

Edwin eu un petit sourire à son tour : oui c’est pas mal,
Tu sais Anthony est le dernier nom donné par mon ancien apprenti
Il allait donc bien être mon maitre, a cette pensée je souris intérieurement, il m’avait l’air sympatique et très libres
Il s’arrêta «Nous sommes arrivé »

Hey et mes deux question répliquai je Larksi
il me fit un clin d’œil.« Il fallait être plus rapide »

J’allais protester mais mon maitre m’intima de regarder devant moi J’obéis à contre cœur et  je restais bouche bée. Devant moi se dressait l’église du village elle était encore plus belle que ce matin, les vitraux était reflété par le soleil, et je restais de longues minutes à la contempler. Un claquement sec retentit et je revins à moi
Donc on peut y aller ? Demanda Edwin  
Oui ! Je lui emboitais le pas et les suivis à son nouveau maitre.
On entra dans l’église et je constatais qu’elle était vraiment petite vu de l’extérieur, elle me paraissait gigantesque et majestueuse  maintenant que j’étais en son sein.

Edwin marchait d’un pas assuré et saluait toutes les personnes qui lui parlaient. Personne ne me prêtait d’attention Ce qui ne me gênait absolument pas, trop occupé à contempler l’église, elle disposait d’un jardin, et des multiples pièces surement dangereuses vu les cris qui en sortaient  j’en frissonnais légèrement
En inspectant les lieux, je remarquais quelque chose pour le moins étrange, à certains endroit, lorsqu’une personne arrivait près d’un mur par exemple il disparaissait purement et simplement dans le mur je pouvais comprendre que des passages secret ou dérobés c’était normal pour une guilde/association de voleurs/assassins, mais a ce stade c’était plus de la magie.

j’espérais que mon mentor m’explique rapidement toutes les subtilités de cet endroit.
D’ailleurs Edwin m’observait et attendit que je lui garçon lui donne son attention, ceci étant fait il m’expliqua la suite des opérations

« Nous allons voir les grand maitres, ceux qui dirigent cet endroit, tache d’être respectueux et poli, ils pourraient t’ôter la vie en une respiration.
son ton était grave. J’hochais mollement de la tête d’une les règles de me convenait pas du tous de ceux ces grand maitres serait des vieux croutons.
Je soupira intérieurement et me contenta de suivre les actions d’Edwin
On entra dans une grande pièce gardé par une porte tous aussi gigantesque  
La pièce était plutôt grande, une cheminée y était allumé et du bois crépitait dans l’âtre, il y avait plusieurs fauteuils et canapés et une grande table était dressé, richement garni, de nombreux mets y était déposés. Je louchais sur une tarte qui m’avait l’air excellente. Edwin toussa ce qui me fit reprendre mes esprit. Je regardai plus en détail la pièce ou je me trouvais elle avait une forte dominance de rouge et de noir. Edwin avança me tirant encore une fois de mes réflexions.
Nous nous dirigions vers les milieux de la pièce et Edwin s’avança de 4 pas, et ne bougea plus, je fis donc de même, j’allais s’incliner mais son maitre posa sa main sur mon épaule. Je le regarda et murmura : et la politesse ? Edwin grimaça mais repris un air grave immédiatement. Je resta donc debout et l’imita.

J’attendis quelques minutes et 3 personnes arrivèrent pour nous saluer,
Je pensais qu’ils seraient dans l’ombre et qu’une lumière éclaterait les révélant. Mais non rien de tout ceci ne se produisit. En un sens je fus soulagé qu’un truc aussi cliché n’arrive pas et cependant j’en fut aussi un peu déçu.
Je détailla les personnes en face de nous,, il y avait 2 hommes et une femme, tous mince, et portaient tous une tenue de cuir sombre avec quelque nuances

Il y avait un homme assez âgé selon moi, il devais avoir dans la cinquantaine. il avait des yeux verts et le regard bienveillant, ses cheveux étaient grisonnants et il portait une queue de cheval, il était sec et plutôt musculeux. Ce que je trouvais étrange car mon moi un gabarit comme ça passait difficilement inaperçu. Sa tenue était plus vers des ton grisâtre il portait une combinaison plus grise que noire

Le second homme était plus jeune, il avait le crâne rasé et avaient un regard plus sévère plus froid, il était silencieux depuis le début les bras croisées sa tenue était tiraient plus vers les marrons

Et il y avait une femme, très belle, elle avait des yeux gris et une longue chevelure noire tressées en une natte, elle avait un regard perçant et Larksi su qu’elle lisait en lui comme dans un livre ouvert.
Ils étaient impressionnants

j’étais encore une fois bouche bée et je commençais a en avoir vraiment marre d’être surpris toute les 5 minutes comme ça…
Je croisa mes bras et attendis la suite
Edwin prit la parole : Je vous salue grands maîtres

Le plus vieux des 3 maitres répondit : Allons pas de ça avec nous Anthony, tu es aussi un grand maitre après tous
Non je ne le suis plus, tous comme je ne suis plus Anthony, je suis Edwin désormais.

Oh, ton disciple a du gout repris la femme, Edwin ça fait beaucoup plus… viril dit t’elle s’approchant de Edwin elle était le type de femme séduisante et qui aimait beaucoup jouer.
Lorsqu’elle se déplaçait, cela renforçais mon impression. C’était félin, silencieux et mortel.

L’homme, le plus jeune intervient, tu n’en as encore fait qu’à ta tête hein Edwin, cela fait combien de fois que tu changes de disciple hein ? Et je ne veux que la réponse du savant !

Je souriais intérieurement, donc il était vraiment comme ça pour ses réponses ?
Et bien cela fait au moins 20 fois mais ils n’étaient jamais en accord avec l’esprit des Sombrume ou alors ils sont morts. répondit calmement Edwin
Le  plus jeune maitre se calma à cette réponse et son ton se fit chaleureux.
Je n’en restais pas bouche bée cette fois. Mais ? comment pouvais t’on changer d’humeur si vite ?  

Paix à leurs ames mon ami mais un enfant du bidonville voyons Edwin, tu es exactement comme Salmel

Edwin restait calme Je sais, enfin laissez-lui sa chance il a un grand potentiel. Présente-toi.
je ne peux pas dire que je n’étais pas intimidé par les grand maîtres mais je ne me démonta pas :
Je parlais d’une voix forte et assuré jusqu’à ce qu’en deux mot ma voix ne sois plus qu’un murmure, ma voix se brisa, ils étaient impressionnant, ce n’était pas simple de répondre à des gens comme ça.
Mes genoux tremblaient et une boule s’était formé dans ma gorge, je ne pouvait plus parler.
Edwin accentua sa main sur mon épaule et la femme m’encouragea, Tu t’appelles donc Larksi, nous n’allons pas te manger ne t’inquiete pas nous voulons seulement mieux te connaitre….

Bizarrement  je ne sus pas pourquoi mais ces paroles était mélodieuse, comme un chant, ils s’infiltrairent en moi, et je me senti détendu, j’avais envie de tous raconter a cette femme.
Je pris une inspiration et je repris : Oui je suis un enfant des bidonvilles, mes parents m’ont abandonnés à l’age de 6 ans, je suis seul depuis mes 6 ans et j’ai 8 ans, Edwin m’a parlé de votre guilde clan, etc. de voleurs mais il m’a aussi dit que vous êtres aussi des tueurs

Cela ne te gêne pas de tuer ? Questionna la femme
Je réflechit un instant :
Je ne sais pas ce que cela fait de tuer mais je ne tuerais que si je suis en danger de mort. Je ne veux pas oter la vie pour de mauvaises raisons.

Nous verrons repris le plus jeune des trois, tu sais ce n’est pas un sanctuaire / association/gang/ clan des voleurs .C’est seulement la guilde des Sombrume
Je le questionnais Et c’est quoi un Sombrume?

Tu l’apprendras par toi-même repris Edwin
Est-il apte ?
Ça ne me pose pas de problème et puis nous avons déjà donné notre accord à Salmel  dit le plus vieux.

La femme hocha de la tête et le plus jeune reparti sans un mot.
Voilà qui est réglé conclut Edwin, Viens je vais te faire visiter les lieux puis nous irons dormir, ta nouvelle vie commence.
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