Isabela de L'IsleMessages : 16 Date d'inscription : 22/08/2015 Feuille de personnage: | Sujet: Comme un vieu parfum de parchemin. [Terminée] Dim 23 Aoû - 0:37 | |
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Isabela
de L'Isle | Nom Complet : Isabela de L'Isle Surnom : Isa, Mlle Isabela. Date de Naissance : 11/01 Lieu de naissance : Paris Âge : On ne demande pas ça a une dame voyons. Nationalité : Française Orientation Sexuel : Ce n'est plus de mon age. Métier/Classe : Conseillère d'Orientation / Personnel Infos en plus : - Nom de ton pouvoir : Emission Olfactive - Informations:
Description de celui-ci : Isabela a la capacité de créer des senteurs et des gaz, émanant de son propre corps. Chaque substance qu'elle exhale a une utilité différente.
Ces odeurs sont classée en trois groupe : Les effluves naturelles : Ce sont des odeurs basiques comme celles utilisées dans l'aromathérapie qui n'influent que sur le caractère de la personne visée : Calmer, exciter, endormir, distraire, faire rire ...
Les effluves visuelles : Ce sont des parfums véhiculant une sorte d'image suggérée. Je m'explique : Le gaz influe sur la mémoire du sujet lui faisant revivre un souvenir se rapprochant de l'image suggérée. Très pratique pour détourner l'attention, attendrir ou effrayer, donner des hallucinations.
Les effluves sensorielles : Les gaz les plus puissants, capable de causer de la douleur, de faire pleurer, de rendre dépressifs, de causer une sensation de noyade ou autre de ce genre. Ce sont des odeurs capables d'agir sur le système nerveux.
Ce don est presque inefficace en extérieur, d'ou le fait qu'Isabela sorte rarement en plein air. En revanche, en adéquation avec son don elle a acquis un odorat extrêmement puissant capable de détecter et reconnaître presque toutes les odeurs, y compris celles des sentiments.
+ Avantages • Large éventail d'effets. • Ne demande pas beaucoup d'effort. • Capable d'agir sur plusieurs personnes.
- Inconvénients • Quasiment inutilisable en extérieur. • Très difficile de viser une seule personne quand elle n'est pas seule.
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Physique Le temps affaiblit le Corps Isabela est une femme âgée, c'est indéniable. Personne ne sais exactement quel age elle a, ni depuis quand elle rode dans les couloirs du pensionnat. Elle fait presque partie des murs. Son apparence est stricte et dure. Sévère. C'est une femme droite sur qui le temps ne semble pas avoir d'emprise. Elle marche d'un pas lent, mais sur. Jamais son dos ne s'est voûté, jamais ses jambes ne se sont arquées, jamais son port altier n'a été déformé. Née d'une bonne famille elle a gardé le maintien fier de ses origines aisées. Sa chevelure grisonnante toujours impeccablement coiffée en un chignon relevé lui donne un air un peu sévère. Air accentué par la dureté de son unique œil jaune. Ne subsistant du second qu'un globe laiteux enfoncé dans ce visage acariâtre. Mais pourtant, quelque fois, une expression d'infinie douceur apparaît sur ce visage, un sourire étire ses lèvres flétries par le temps, la faisant devenir, l'espace d'un instant, l'archétype de la mamie gâteau qui nous préparait de bons petits plats, nous couvrait de gentillesse et ne manquait jamais de nous serrer contre elle. Sa taille plutôt grande (environ 1m70) pour une femme de son age et sa stature osseuse ajoute au sentiment de malaise qu'elle peut dégager de par sa simple présence. Toujours habillée dans des couleurs assez sombre, allant du noir au violet foncé, en passant par le bleu nuit et le vert sapin, elle porte généralement une grande cape dont elle se sers pour accentuer l'effet de son dons en faisant des courant d'air. Il lui arrive cependant, quelque fois, de redevenir la jeune fille de bonne famille qu'elle était et de se parer de rose bonbon. |
Caractère
mais l'Âme, elle, est éternelle.
Vous savez, quand vous étiez plus jeune, et qu'a l'école, il y avait une professeure qui vous effrayait. Le genre de femme dont le simple nom vous donnait des frissons. Celle qui passait son temps a vous crier dessus, a vous dire que vous n’étiez que des bons à rien, des incapables et que vous rateriez votre vie ? Vous savez, celle qui ressemblait a une vieille fille avec ses cheveux gris et ses tailleurs impeccables d'un autre temps ? Vous vous souvenez de cette femme ? Oui ?
Et bien cette femme, c'est Isabela.
Isabela est autoritaire, très autoritaire. C'est un fait. Elle aime l'ordre et la discipline. C'est dans sa nature, c'est ainsi qu'elle a été élevée, dans le respect des règles. C'est une femme plutôt froide d'apparence, le regard sévère, la paroles stricte. Elle intimide les élèves aux faibles caractères. Cependant elle est d'une justice irréprochable. Elle ne peut se résoudre a punir un innocent et ne supporte pas l'injustice. Cela dis, ayant fait allégeance a Akumu lors de son accession au poste de directrice, elle exécute chacun de ses ordres, même si certains lui fendent le cœur.
Car Isabela a un secret qu'elle garde bien caché : Elle aime profondément chacun des pensionnaire qu'elle suit. Elle se donne a corps perdu a sa tache de conseillère d'orientation, espérant que chacun des élèves qui viennent la voir s'en sortira dans la vie une fois en dehors de Shikido.
C'est une femme forte, au caractère bien trempé qui ne se laisse pas facilement marcher sur les pieds. Elle est ferme et sa voix cassante ne tolère aucune objection. Avare de gentillesse elle estime que la discipline prévaut sur tout le reste et que c'est la clé de la réussite.
Dernier point, les limites de son don dans les espaces ouverts l'ont poussée a rester en intérieur, ne sortant de son bureau (attenant a sa chambre) que très rarement. Cette claustration volontaire a finie par se muée en un début d'agoraphobie, la forçant a rester a l'intérieur, la ou elle se sens plus en sécurité. Elle déambule souvent dans les couloirs, la nuit, pour marcher un peu et se changer les idées.
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Histoire La vie ce n'est pas d'attendre que les orages passent, c'est d'apprendre comment danser sous la pluie. Née dans les années 60, dans une grande maison de la banlieue parisienne, au sein d'une riche famille d'aristocrate, Isabela, de son vrai nom Marie-Elizabeth a grandie aimée par les siens. Enfin ... Si tant est que l'amour peut se traduire par l'emploi de gouvernantes, nourrices et autre professeurs ou percepteurs payés pour éduquer la jeune fille. En effet, l'immense fortune de la famille de L'Isle a permis a ses parents de confier la tache de l'élever a une panacée de professionnel. Ainsi la jeune Marie-Elizabeth ne voyait que rarement ses parents, mais côtoyait régulièrement le monde des grandes personnes, qui lui ont appris le respect, la politesse, les bonnes manières et l'amour de la discipline. Bonne élève, elle apprenait vite, et bien, faisant la fierté de ses professeurs. Prenant très a cœur de ne jamais les décevoir, Isabela redoublait d'efforts lors de ses leçons. Elle apprit aussi a jouer du piano, a chanter et même a danser. La parfaite petite fille, cliché de l'enfant bourgeoise de l'époque. Cependant, loin d'être hautaine et de tirer une quelconque prétention de sa naissance aisée, elle possédait une réelle gentillesse du cœur. Bien que les seuls enfants qu'elle côtoyait étaient ceux des domestiques du domaines, elle leurs accordait de son temps et de sa joie de vivre, partageant des moment que seuls les enfants savent apprécier, ne faisant pas de différence entre elle et eux, au grand dam de ses parents. Les années passèrent et Marie-Elizabeth devint une belle jeune fille, promise en mariage au fils d'un riche promoteur. L'idée du mariage arrangé la rebutait, tout comme le fait de devoir épouser un homme dont elle ne savais rien, qu'elle n'avais jamais vu et qu'elle n'aimait pas d'amour. Cependant, son éducation lui dictait de respecter les choix de ses parents. Le jour J, elle se présenta a l'église, revêtue d'une magnifique robe de mariée, parée de bijoux étincelant et d'une traîne de plusieurs mètres de long. Elle était angoissée. Les rares rencontres qu'elle avait eu avec Henry n'avaient déclenché en elle aucuns sentiments d'amour ... Alors qu'elle avançait entre les bancs, elle senti une chaleur diffuse l'envahir tandis que l'air s'emplissait d'un léger parfum rappelant confusément celui de la lavande. Elle fut enfin face a Henry, qui lui prit la main. Le cœur de Marie-Elizabeth battit encore plus fort et la senteur fugace qui l'enivrait depuis son entrée se fit plus forte. Elle vit Henry s'écrouler au sol, visiblement évanoui. Quelques cris retentir et elle vis avec horreur qu'une dizaine d'invités ainsi que le prêtre qui allait les marié s'étaient eux aussi évanouis. La plupart des autres invités s'étaient enfuit a toutes jambes de peur de subir eux aussi le mystérieux mal qui sévissait dans l'église. Il ne restait que sa chère mère qui tentait de se lever sur ses jambes flageolante, luttant contre la syncope. Marie-Elizabeth s'approcha d'elle et lui pris la main, priant le seigneur que cela cesse, que sa mère se sente mieux. Une effluve d'orange se fit sentir discrètement tandis que Mme de L'Isle semblait se détendre et aller mieux. Marie-Elizabeth ne voulu pas croire que c'était elle la cause de ses bouleversements et une fois rassurée s'enfui de l'église pour se réfugier dans sa chambre, cherchant a comprendre comment c'était possible. Il est vrai qu'elle avait toujours eu un don pour reconnaître les odeurs. Rien qu'au parfum elle pouvait dire qui était présent dans la maison. Elle savait reconnaître toutes les fleurs du jardin les yeux fermés, rien qu'en les sentant. Elle arrivait a décrypter les saveurs d'un plat rien qu'en humant le fumet. Mais de la a pouvoir exhaler des parfums de son propre corps ... Était-ce réellement possible ? Ne pouvant affronter la honte qu'elle avait infligé a sa famille et voulant laver l'honneur de ses parents, elle pris la décision de partir. Elle avait besoin de se trouver elle même. C'est a ce moment qu'elle changea de nom pour Isabela. Isabela voyagea beaucoup, dans presque tous les pays du monde, durant une quinzaine d'année. Elle apprit a maîtriser ce don qui la rendait unique. Elle en compris le fonctionnement et étudia toutes les facettes, au gré de ces pérégrinations. Lors de son séjour au Japon elle apprit qu'une pension existait, regroupant des enfant, adolescents et jeunes adultes aux pouvoir surnaturels, parfois destructeurs. Elle pris le parti de s'y rendre, certaine que son don serait appréciable et utile pour l'avenir de ces jeunes sur le mauvais chemin. La directrice de l'époque qui avait besoin de personnel l'engagea directement, sans poser plus de question que ça. Et c'est ainsi qu'Isabela trouva son nouveau foyer. Les années passèrent, et Akumu pris la direction du pensionnat, elle renouvela ses vœux de servitudes, assurant la nouvelle directrice de son entière dévotion. Près de vingt ans après son arrivée, Isabela est toujours la, a la même place, au même poste, a tenter d'aider les jeunes qui sont placés sous sa juridiction, du mieux qu'elle le peux, dans l'espoir presque illusoire de les voir réussir et devenir de belles personnes. Derrière l'écran Ton prénom ou pseudo : Kumichou Ton âge : Toujours le même. Comment as-tu découvert le forum ? : J'y était déja. (Ubyr/Sly) Votre présence sur le forum ? : Comme d'hab, autant que possible. Code du règlement ? : valider par nicos san :3
© FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH' et modifiée par Elyana de Shikido ! |
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Nicos San Messages : 154 Date d'inscription : 08/11/2014 Localisation : Dans mes pensée. Humeur : Triste, problème ? Age : 28 Emploi/loisirs : jeux video / lire / ordinateur Feuille de personnage: | Sujet: Re: Comme un vieu parfum de parchemin. [Terminée] Dim 23 Aoû - 16:36 | |
| tu est valider ! bien venus ou je devrais dire .. bien .. sorti du placard ! (ba oui in plus de 25 30 ans dans le pensionnat et on a pas trop entendu parler d'elle ...) BREFF bravo kumi pour se magnifique personnage qui va surement nous en mettre plain la vue |
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