Akuma Sayo

Histoire

Histoire  
Le plus loins qu’on connais sayo, c’étais lorsqu’elle n’avais que quelque mois. Elle fût retrouver dans la forêt, abandonné par ses parents ou la dernière personne  qui s’en occupait, par une jeune femme nommé sira. Puisqu’elle l’avait trouvé pendans la nuit, sira donna le nom de sayo (née dans la nuit) à la jeune fille. Quelques semaines plus tard, sira tombat malade d’un mal démoniaque, elle était victime de cauchemard tous plus térifiant les un que les autres. Ses cris de peur nocturne, s’accordaient tout les soirs à ceux de l’enfant. L’ancien du village déclarat que c’étais le poupons qui provoquait ces visions d’horeurs, qu’un mal le possédait. Alors le viel homme prit en charge sayo. Sa volonté première étais de tué l’enfant mais il n’en fut pas capable. Il essaya de l’abandonnée dans les bois comme ils l’avaient trouvé mais l’idée qu’une bête sauvage la mange lui était insuportable. En rentrant au village, il passa devant une petite maison, de la fumé sortait de la cheminer. Il déposa l’enfant à l’entré.
Le jeune couple qui vivait dans la maison mit peu de temps à trouver le bébé. La seul chose qui venais avec elle était une petite lettre indiquant son nom , son histoir et les problèmes du village. Ne s’en souciant guère, la nouvelle mère s’occupa de sayo qui, après quelques années, avait arrêté ses crises douloureuses et riait et jouait comme tout les enfants. Quand se fut le temps pour elle d’aller à l’école, sayo eu plus de difficulter à se contrôle, les autres enfants prennait plaisir à se moqué d’elle. Mais sayo sur le bord de la crise se rappeleait se que ça mère lui disait et se recalmait. Mais un jours, un garçon de sa classe poussa la rigolerie trop loin. Puisque tout les autres élèves riaient d’elle ou en avaient peur, sa seule amie était yōko une petite mésange qui avait fait son nid proche de l’école. Pour s’amuser un peu, le jeune gaçon et ses amis firent un concour pour voir qui visait le mieux au lancer de roche. Le coup fut mortel pour le petit oiseau. Alors agé d’à peu près six ans. Sayo tombas dans une colère dévastatrice. Elle s’agenouilla au sol devant le petit cadavre et hurla de toute ses forces. Une vague de douleur s’étenda tout autour d’elle. Les enfants, qui ne pouvais même plus tenir debout, hurlaient à l’unison leur cauchemars. Des images tourturantes parcouraient leur esprit. Un professeur qui avait assisté à la scène était tellement rongé par ces images qui prit son crayon et s’en creva les yeux. D’autre qui étais à l’intérieur sautairent par la fenêtre pour aterir au sol difformément sur les autres cadavres. Sayo qui avait comprit que c’étais elle qui déclenchait se spectacle, se remit sur ses pieds et courrue jusqu’à chez elle mais un mal de tête la ralentisait elle aussi. Son oeil droit commença à pleuré d’un liquide chaud et épais. Du sang. Sayo était étourdie et ne pouvait plus courir droit. Son oeil lui fesait extrèmement mal. De cette oeil elle commença à voir ses camarades de classe qui hurlaient de douleur, ou étaisse une illusion provoqué par leur écho qu’on entendait encore. Vivant sa propre malédiction sayo n’en pouvant plus recommença à hurler et hurler. Du sang continuait de couler de son orifice gauche. Les veines tout autour de son oeil étaient de plus en plus visibles et douloureuses.  Elle fuit, les animaux de la forêt tout autour d’elle victiment de son sortilège. Les oiseaux tombaient du ciel dans le fraqua de leurs petits os, les plus petits animaux ne suportaint pas et mourrais sur le coup et les plus grands hurlaient de douleur. À bout de force, sayo s’arrêta de courir pour aussi tôt tomber dans un côma profond.  Elle resta là plusieurs heurs, jusqu’à se qu’un homme et ses coéquipiers qui passaient par là, la trouvent. Ces hommes étais des marchands d’esclaves. Se promenant de village en village, enlevant les enfants pour les revendre à bon prix à de riches clients, des armées ou tout autres personnes en recherchant un. Il prit la petite fille et après réflexion, se dit qu’elle pourait faire une bon prix malgré sa blessure. Il l’embarqua avec ses autres prises dans un chariot.
Quand sayo se réveilla enfin, elle était sur un bateau. Dans une petite cellule d’un mètre par un mètre pas plus. Elle avait un lourd bracelet de fonte à la cheville gauche. Tout autour d’elle il y avait femmes, hommes et enfants enfermé dans la même sorte de cellules qu’elle. Puit elle se remémora sa colère, se qu’elle avait provoqué et commança à pleurer,  pas de collère, mais de tristesse extrême. Un jeune homme dans les 15 ans à côté d’elle remarqua qu’elle étais réveillé. Il prit une coupe et la passa au travere les bareaux. De l’eau, sayo en prit plusieurs grandes gorgées. Ensuite le jeune homme lui expliqua qu’ils étaient sur le bateau d’un marchand d’esclave et qu’ils voguaient jusqu’à l’île du crane, leur repère, où il entrainaient les esclaves à ce que leur futurs maîtres voudraient les utiliser.
Un ans s’était écoulé depuis son arrivé sur l’île. Sayo et Daiki, le jeune garçon, avait développer une amitié très puissante comme frère et soeur, ce à quoi sayo n’avait jamais eu la chance auparavant. Puisque Daiki étais au courant de sa situation, il aidait sayo à contrôler sa capacité inhabutiel. Elle était maintenent capable de s’en servir s’en colère et pouvait contrôle sa dose de douleur infligé. Une journée comme les autres, sayo se trouvait dans la cour avec Daiki. Ils admiraient le ciel, le seul endroit de la cour qui n’était pas caché par une grand mur de béton. Un homme entra dans la cour à dos de cheval. Se cheval galoppait très vite mais fût couper dans sa course par deux jeunes esclaves de 7 et 16 ans étandue sur le sol. L’homme tombat de son cheval cabré et par la colère, il prit son fuet. Des hommes avait déjà attrapé Daiki et la jeune sayo, mient à genoux devant eu. L’homme s’approcha de Daiki, il lui cria des insultes et demanda à se qu’il soit attaché à la poutre central. Son fuet claca une foit le dos de Daiki mais aucun crit ne sortit de sa bouche. À peine une lueur de souffrance passa par son regard. Un deuxième coup,  une troisième coup, un vingtième coup, et toujours rien. Son dos ressemblait à une carcasse de porc suspendu dans une boucherie. De la chair déchiqueté s’écoulait le sang écarlate. Sayo n’en pouvait plus. À peine le vingt-et-unième coup fut envoyer qu’une douleur se propagea dans l’homme au fouet. Son visage tourna au rouge puit au violet comme si quelqu’un l’étranglait, sa peau se couvrit de grandes plaies et comme si quelqu’un l’avait enflammer, son visage se couvrit de brûlures ayant l’air de venir de l’intérieur. Un coup de bâton derrière la tête de sayo fit arêter les soufrances de l’homme. Prit de rage celui si prit sa lame, marcha jusqu’à Daiki et lui trencha la gorge net. Un deuxième coup mit la jeune fille en larme au tapis. Ça y est, les marchants avait trouver à quoi la jeune fille servirait.
Deux jours plus tard, ils la vendirent à un homme d’affaire qui organisait des combats clandestins dans son bar non loins de là. On y entraina sayo à devenir une machine à tuer, sans émotions pour ses victims elle devait assister à tout les combats, sans crainte de la douleur on la battait pour qu’elle si habitue, sans défaut ni point faible on l’entrainait à se battre à main nue ou avec toutes les armes inimaginables. Puis elle entra dans l’arène où elle en devint la reine. Elle fut vite appelé sayo akuma. Sayo la démone. Sans aucune défaite, elle devint vite la favorite du public. Elle tuait dans la plus grande cruauté tout ceux qui entrais dans l’arène contre elle, humains comme animaux, pendant neuf ans. Après cette neuvième année de profit, le riche homme invita celui qui lui avait permi de devenir encore plus riche : le tueur de Daiki. Quand elle monta dans l’arène, sayo salua la foule comme à son habitude et se retourna vers son maitre pour la révérance de début, mais remarqua l’homme qui l’accompagnait dans l’estrade. Sa colère fût immence, elle se rua sur le mûr qu’elle escalada avec grande facilité et d’un coup de sa dague préféré, poignarda les deux hommes et s’enfuit à vive allure sous les acclamations mélangé entre la peur et la folie du spectacle.
Alors âgé de quatorze ans, elle trouva quelque boulot d’assassinat. La très jeune tueuse à gage eu beaucoup de facilité à se faire un nom dans le domaine.
Ce fut à dix-huit ans que sayo se fit prendre lors d’un de ses contrats. Une seule erreur et elle fût enfermé dans le pensionnat de shikido.

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